Marcher sur la rue, dans l’espoir de raconter les histoires de la ville, voilà la définition la plus simple qu’on puisse trouver à l’exploration urbaine. Fortuitement, un événement se déroule devant nous, on croit qu’il va se produire quelque chose, mais sans savoir ou cela nous conduit. Appareil photo en main, on photographie, on mitraille, espérant capturer l’essentiel. Si la chance nous accompagne, on peut même obtenir un résultat inespéré.
La guerre de l’affichage est un sujet à controverse, il va de soi. Mais au delà du débat, aux multiples enjeux, je me sens privilégié d’avoir pu saisir au vol une séquence que j’ai finalement déguisée en Storyboard pour une pub télé. C’est une liberté éditoriale, finalement.
Pour se donner bonne conscience, je vous invite à consulter un vidéo reportage de la Presse, sur la Guerre de l’affichage. Ce reportage permet de constater comment l’affichage en milieu urbain est difficile à gérer.
NOTES D'UN AUTODIDACTE 
Intéressant ce sujet des affiches. Et pas facile à ce qu’il semble ce travail de poser les affiches. Humide et à risque ? Je ne crois pas avoir déjà vu une femme en poser…
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Merci pour l’intérêt pour les affiches.
C’est effectivement intéressant de se demander qui fait quoi. Lorsque j’ai eu l’opportunité d’observer la séquence transformée en vidéo, il y avait un dilemme qui se posait : M. Stroumboulopoulos ne contrôle évidemment pas qui pose les affiches pour son émission et la compagnie qui a été détronée aurait pu réagir.
J’ai donc contacté M. Strombo via son fil Twitter – son surnom – pour m’assurer que cela ne créerait pas d’incident « diplomatique », un peut comme si cela pouvait se transformer en jeu de l’arroseur arrosé. Il ajouté cette vidéo dans ses favoris, sans commenter.
Donc, en principe, un acquiescement silencieux.
Prochaine étape: je vais envoyer ce lien au rédacteur de l’article de la Presse, pour fermer la boucle.
@ suivre…
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